KARATE (art martial traditionnel japonais) :
Le karaté est basé sur des techniques de percussion utilisant les différentes parties du corps comme des armes naturelles (doigts, mains ouvertes et fermées, avants bras, pieds, tibias, coudes, genoux, tête, épaules ...) en vue de bloquer les attaques adverses et/ou d'attaquer.
Les techniques regroupent des parades, des esquives, des balayages, des projections et des clés. Des nuances de contenus techniques sont relativement marquées en fonction du style
Notre Club enseigne le style traditionnel KARATE SHOTOKAN.
KARATE DEFENSE DE RUE (auto défense avec ou sans armes, techniques adaptées pour répondre avec réalité aux agressions) :
Cette pratique consiste à apprendre à se défendre contre tous les types d'agression, à protéger les siens et à porter secours à une personne agressée.
Utilisation des principes et des techniques les plus simples des arts martiaux , des sports de combat et l'expérience du terrain des services de sécurité, adaptés aux qualités physiques et à l'âge de chacun.
Après une préparation physique adaptée spécifique à la self-défense les pratiquants et pratiquantes étudient tous les types d'agression à mains nues ou avec une arme et leurs défenses à mains nues, à l'aide d'objets usuels ou à l'aide de matériels spécifiques à la self-défense dans le respect de la législation.
De nombreux exercices permettent d'acquérir des réflexes, des techniques et des stratégies pour se sortir d'une mauvaise situation.
Simple, rapide, efficace sans obligation de souplesse ou de force particulière et applicable par tous (hommes et femmes de tous ages)
TONFA DE SECURITE (arme de défense des forces de police et de sécurité pour maîtrise de personnes avec ou sans arme) :
Notre club forme et entraîne la police municipale de Bourges, tous nos instructeurs de tonfa sécurité sont diplômés de l’académie PATUREL
(M. Robert PATUREL ex instructeur du RAID est le créateur de la méthode française de tonfa sécurité enseignée dans la police)
BATONS PHILIPPINS (méthode PATUREL) :
Originaire des îles philippines, ce sont les Espagnols qui ont observé cette méthode de combat philippine en assistant aux danses de combats des guerriers indigènes. Les techniques philippines (combat à la machette et au Kriss se sont ensuite mélangées avec les formes de combats employées par les Conquistador espagnols)
La maîtrise du bâton doit conduire le pratiquant à se familiariser avec différentes armes ou le combat à mains nues.
GENBUDO (art martial avec armes traditionnelles pour les adultes):
(tonfa, nunchaku, sai, kama, bo, tambo, etc…), armes en mousse pour les enfants.
TONFA :
Le tonfa est en fait le manche de la meule servant à moudre les grains et dont on a coupé l'extremitée. Ils s'utilisent par paire en mouvements de rotation autour des poignets et entre les mains d'un pratiquant expérimenté peuvent être des armes redoutables
NUNCHAKU: Contrairement aux idées reçues le nunchaku était une arme utilisée en grande partie par les femmes. C'était un instrument qui pouvait servir à écorcer les musas ou issus du mord de cheval
SAI :
Dagues en aciers, ces armes ayant la forme d'un corps humain venant de Chine étaient utilisées par les policiers d'Okinawa. Ils en disposaient trois : Deux pour le combat rapproché et un sai dans la ceinture derrière servant à être lancé
KAMA :
Les faucilles sont à peu près les seules armes tranchantes de la panoplie du genbudo. Ces instruments étaient destinés à l'origine pour la coupe des cultures.
BO :
bâton long de 1.80m. A l’origine il servait notamment au transport de lourdes charges. Le maniement du Bo est semblable à celui du bâton long utilisé au Moyen Âge en Europe par les paysans.
Les moines guerriers du XVIe siècle en firent leur discipline de prédilection. À l'époque des Shoguns Tokugawa, le Bo en bois fut utilisé par la police shogunale pour affronter les brigands armés de sabres.
TAMBO :
Le tambo ou bâton court. Cette arme peut être utilisée pour frapper, effectuer une clé, étrangler, bloquer.